jeudi 20 juillet 2017

traces






Traces innommables 
résonance d’argile   vocables
                     fluidité du mot 
                     le geste ouvre la voie 

la mort au bout de la route 
là-bas   le souvenir attend 
                     l’aube 

insectes des certitudes 
l’homme est dans la glaise 
                 la vie dedans 
la mort au berceau du temps 

la mer toujours recommence son chant 
l’homme l’entend        il s’absente

            sublime beauté




2 commentaires:

Anonyme a dit…

le dedans parle à la mort
à coeur fermé
besos
tilk

Anonyme a dit…

sublime beauté